"Zero hour", la #Critique de la presse US

Posted by streetlyricisme on February 17 2013, 19:43pm

Categories: #abc, #Critique, #critique, #saison 1, #zero hour

Paul Scheuring a lancé sa nouvelle série dans lequel on suit un éditeur, du magazine "Modern Skeptic", Hank Foley qui a consacré sa vie a débusquer des indices, élucider des mythes et même révéler au grand jour des complots. Mais lorsque sa jeune épouse est kidnappée pour d'obscures raisons, il s'embarque dans l'une des plus mystérieuses aventures de l'histoire de l'humanité. Une carte au trésor cachée dans une vieille montre qu'elle détenait pourrait mener à une découverte cataclysmique. Hank doit déchiffrer les énigmes, les symboles et autres secrets que renferment cette carte, avant que les réponses ne tombent entre de mauvaises mains. Avec l'aide de deux jeunes associés et d'un agent du FBI, il s'engage dans une véritable course contre la montre pour retrouver sa femme et sauver l'humanité d'une gigantesque conspiration.

Le créateur de Prison Break et Anthony Edwards ont-ils convaincus la presse américaine après le lancement du premier épisode ou bien comme le public, qui n'était seulement que 6,3 millions (dont 400 000 qui ne sont même pas restés), cette nouveauté a déçu ?

Hollywood Reporter :

"Zero Hour est un thriller conspirationniste à la sauce religieuse et historique, façon contes de l'ancien temps, de la même manière que le Da Vinci Code de Dan Brown. Que cela puisse fonctionner sous forme de série reste à prouver. Elle s'annonce définitivement complexe et feuilletonnante, alors que de larges portions du pilote sont néanmoins un peu plates. Les éléments religieux et mystiques risquent de faire fuir certains téléspectateurs (...) Les nombreuses surprises et les retournements de situations donnent envie de continuer. Son ADN suggère toutefois qu'elle peut devenir profondément mauvaise." 4/5

Variety :

"Certains téléspectateurs trouveront sans aucun doute les prémices de la série intrigantes, tandis que d'autres les prendront pour des balivernes épuisantes. Heureusement, Anthony Edwards est au centre de l'action, apportant une qualité très Hitchcockienne et essentielle à son rôle d'homme ordinaire." 3,5/5

San Francisco Chronicle :

"On pourrait reprocher au premier épisode d'être trop rempli, mais il a la capacité rare de retenir votre attention en enchaînant les surprises. Lorsque vous pensez avoir saisi les personnages et leur histoire, Scheuring vous étonne en vous jetant à la figure une nouvelle information, inattendue mais logique quand on prend du recul. C'est de la manipulation, certes, mais qui viendrait s'en plaindre ? (...) Pour que Zero Hour tienne la distance, il lui faudra passer plus de temps à développer ses héros et moins à chercher à nous couper le souffle." 3/5

Denver Post :

"Zero Hour veut se montrer aussi brillante que Lost mais, désolé de le dire : elle est plus proche du pétard mouillé FlashForward (...) Il faudra beaucoup de patience aux fans dévolus d'Anthony Edwards pour aller jusqu'au bout. Tic tac." 2,5/5

Pittsburgh Post-Gazette :

"Est-ce que Zero Hour est bonne ? En aucun cas. Remplie d'éléments prévisibles ("Tu ne me perdras jamais, même si tu essayes de toutes tes forces" annonce un personnage, juste avant d'être kidnappé) et de scènes d'exposition inutiles au nom du développement d'un personnage qui ne semble même pas être là pour longtemps, cette série est terriblement mauvaise. Mais pour les téléspectateurs qui aiment se moquer, qui adorent détester une série, ou pour ceux qui ont aimé le Da Vinci Code, Zero Hour est à ne pas rater !" 2/5

Uncle Barky :

"Absurde, ridiculeusement sérieuse, mal écrite et mal jouée, Zero Hour est pourtant la série qu'Anthony Edwards a choisi pour revenir à la télévision après son départ d'Urgences il y a bien longtemps. Il aurait dû rester couché ! (...) Inutile de perdre votre temps avec ça !" 1/5